~~*La Cascade Enchantée*~~
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 Parchemin - La fille à la bouche cousue

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Doune
Gardienne de la Cascade
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Doune


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MessageSujet: Parchemin - La fille à la bouche cousue   Parchemin - La fille à la bouche cousue I_icon_minitimeJeu 23 Avr - 21:42:51

Me baladant sur le net j'ai trouvé une histoire avec mon homonyme.

L'auteur de 24 ans fort sympathique a pour nom d'artiste parchemin. http://parchemin.deviantart.com.

Citation :
Il était une fois, dans un royaume lointain, une jeune fille appelée Eliwen. Alors qu'elle n'était qu'une enfant, son père était parti faire la guerre au bout du monde. Il l'avait embrassée sur le front, et l'avait laissé avec sa mère, lui promettant qu'il reviendrait bien vite. Hélas, les semaines avaient succédé aux jours, les mois aux semaines et les années au mois sans que sa silhouette un peu courbée ne se dessine dans l'encadrement de la porte.
Et pire que cette éternelle attente, la mère d'Eliwen s'était révélé être une maléfique enchanteresse. Dès que son père avait tourné le coude du chemin, elle avait jeté sourires et robes douces pour revêtir son long manteau noir. Une paire de corne avait poussé sur sa tête, et ne pouvait désormais aller de la cave au grenier sans se faire accompagner de ses deux démons familiers, Mogwir et Aermir.
Eliwen aurait pu s'en accommoder. Elle était sa fille, après tout, et aimait toujours sa mère, même si elle n'était pas telle qu'elle l'avait cru. Hélas pour elle, Lidwan, car c'était son nom, ne partageait pas du tout cette idée. Cette enfant qu'elle avait eu n'était pour elle qu'un fardeau et elle n'avait fait que prétendre l'aimer, pour donner le change autour d'elle. Maintenant que son mari était loin, il était inutile de se cacher à l’intérieur de sa propre maison. Alors, elle brûla tous les jolis meubles et les jouets d'Eliwen. Elle la força à dormir dans la cave, avec les rats. Et pour éviter qu'elle n'alerte les gens du village, elle lui cousit la bouche.
Pour cela, elle s'empara des crins d'une licorne, puis vola une aiguille d'or à une fée. Ensuite, elle attacha sa fille sur une chaise noire dans la cuisine, et méthodiquement, cousit les deux lèvres d'Eliwen ensemble, tressant sa magie dans les crins de licorne, les rendant aussi invisibles que l’air et aussi solides qu’une chaîne d’acier. Une fois sa triste besogne achevée la maléfique Lidwan rit de son stratagème. Eliwen continuant de se rendre au village, ses habitants ne se douteraient pas de ce qui se passait en sa maison. Les années passèrent, et jamais les villageois ne firent aucune remarque à ce sujet. Ils saluaient bien bas Lidwan quand ils la croisaient dans la rue, habillée de ses atours humains, et s'adressaient à Eliwen avec condescendance, comme s'ils étaient convaincus que l'impossibilité dans laquelle elle était de parler la rendait stupide. Cela faisait cruellement souffrir Eliwen, et bientôt, elle n'alla plus au village que quand elle y était obligée, restant confinée à la maison pour éviter les regards des habitants.

Or il advint qu'il jour, le prince d'Oline vint à passer sur la route longeant la maison d'Eliwen. Il aperçu la jeune fille, occupée à bêcher le potager, et en tomba immédiatement amoureux. Mettant pied à terre, il s'approcha, chapeau à la main, et s'inclina bien bas devant la jeune fille. Hélas, à la seconde où il se relevait, Mogwir et Aemir, les deux démons familiers de l'enchanteresse se jetèrent sur Eliwen, l'entraînant dans la maison. Interdit, le prince alla jusqu'à la porte, et y frappa fort civilement. Personne ne lui répondit. Il essaya une fois, deux fois, trois fois, sans que ses coups attirent qui que ce soit. Le manoir semblait désert.

Méfiant, le prince se retira, remonta ostensiblement sur son cheval et s'éloigna sur la grande route, conscient du regard qui suivait le moindre de ses mouvements depuis le grenier. Le lendemain, il ne revint pas. Mais le troisième jour, un vieux mendiant traversa le village, demandant l'aumône à ses habitants. Le quatrième jour, un marchand de pommes se demanda s'il n'avait pas une chance de vendre son lot surnuméraire au marché. Le cinquième jour, ce fut un forgeron itinérant qui fit le tour des maisons, proposant ses services pour quelques morceaux de pain. Le sixième jour, le prince, car c'était lui, caché sous tous ces déguisements, savait tout ce qu'il y avait à savoir sur les deux habitantes du manoir sur la colline. Hélas, il lui manquait une information essentielle : comment battre la maléfique Lidwan.

Caché derrière un buisson, il observait la maison. Eliwen récurait silencieusement les cuivres de la cuisine, jetant de temps en temps un regard plein d’espoir vers l’extérieur. Lidwan, accompagnée de ses deux démons, était partie au petit matin, accrochant sur sa porte un serpent, d’empêcher quiconque d’entrer ou de sortir du manoir. Décidé à tenter sa chance, le prince allait s'élancer, épée au clair, quand une petite voix le fit sursauter. « Tu ne pourras pas le vaincre comme ça. Ce serpent n'est qu'une manifestation du pouvoir de l'enchanteresse Lidwan. Tes coups d'épée ne lui feront rien ».
L e prince se retourna. Le jardin était derrière. « Tu ne peux me voir, Prince, car je suis enterrée, continua la voix. Creuse le sol au pied de ce buisson, et tu me trouveras ».
Un peu méfiant (après tout, il était dans le jardin d'une enchanteresse), le prince s'exécuta, Sous ses mains, la terre s'écarta, pour laisser bientôt apparaître une fine aiguille, dans le chas de laquelle étaient encore enfilés de longs fils d'un blanc irréel. Devant les yeux médusés du prince, la tête de l'aiguille s'inclina.
« Je te remercie, ô prince. Comme promis, je vais te dire comment libérer ta bien aimée. Vois, tu, le pouvoir d’une enchanteresse vient de son cœur. Si tu te contentes d’attaquer les sorts qu’elle jette, ils se reformeront sans cesse et te tueront quand tu chancelleras d’épuisement. Pour vaincre, tu dois l’atteindre au coeur. Elle ne pourra le refuser ».
Le prince hocha lentement la tête, et se cacha de nouveau derrière le buisson, l’arme au clair, bien décidé à tuer l’enchanteresse dès qu’elle reviendrait. Cependant, après quelques moments de silence, l’aiguille repris la parole.
« Si je peux te demander autre chose, ô prince, j’aimerais que tu m’utilise pour détruire la démoniaque Lidwan ». Devant le regard incrédule du prince, l’aiguille continua « Elle a tué ma fée et m’a corrompu. Mon seul vœu aujourd’hui est la vengeance ».
Sans rien ajouter, le prince prit l’aiguille et la glissa dans sa poche.

Le soleil se couchait quand l'enchanteresse revint. Elle remontait l'allée à pas lents, escortés par ses deux démons quand le prince bondit devant elle. D'un coup d'épée, il trancha en deux Mogwir, et avec sa dague, il brisa le crane d'Aemir qui s’écroula sans même crier. Alors, le prince se dressa devant l'enchanteresse, ses armes dégoulinant encore du sang noir des bêtes, et s'écria « Je te défis, maléfique, Lidwan, en un défi d'honneur ».

Hurlant de rage, l'enchanteresse leva les bras pour appeler à elle les forces des ténèbres. Mais avant qu'elle ait pu lancer le moindre sort, le prince avait bondi sur elle, et planté profondément l'aiguille de fée dans sa poitrine. Le fin morceau de métal se faufila à traverses ses côtés et ses chaires, jusqu'à arriver à son cœur, qu'elle transperça avec rage, encore et encore. Lidwan tomba à terre, crachant sang et bile par son nez et sa bouche. Profitant de sa faiblesse, le prince lui trancha proprement la tête. Alors, le serpent sur la porte s'évapora.
Quelques instants plus tard, la porte s'ouvrit, et Eliwen en sortit. Elle se présenta devant le prince et s’inclina gravement. Les crins de licornes s’étaient évaporées sans laisser une seule marque sur ses lèvres roses.

« Je te remercie de m’avoir sauvé, noble prince, dit-elle », la voix encore un peu rauque.

« Hélas, ajouta-t-elle en reculant d’un pas, tout ce que je peux faire pour te rendre la pareille est de m’éloigner au plus vite de toi. Car vois-tu, le sang des enchanteresses coule aussi dans mes veines, et je ne saurais que t’apporter le malheur en restant à tes côtés. »
Et avant que le prince ait pu faire quoi que ce soit, elle disparu dans un nuage de souffre.
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MessageSujet: Re: Parchemin - La fille à la bouche cousue   Parchemin - La fille à la bouche cousue I_icon_minitimeJeu 23 Avr - 21:45:35

Citation :
Après le brusque abandon d'Eliwen, le prince rentra en son château, rongé par l'amertume. Les fêtes que ses parents donnèrent pour célébrer sa victoire sur l'enchanteresse n'y changèrent rien, ni les somptueux cadeaux qui lui furent faits. Il délaissa ses amis et sa famille pour partir des heures durant à travers la campagne, guettant le reflet du soleil dans une chevelure châtain clair, jour après jour, semaine après semaine.
Quelques mois après ces évènements, les parents du prince moururent brusquement de maladie, et quelques voix chuchotèrent qu'ils s'étaient laissés dépérir de chagrin. Le prince donna alors l'ordre le pendre dix personnes de sa cour par jour tant que les rumeurs ne cesseraient pas. Ce fut son premier acte d'état, et bien d'autres suivirent.

Sous le règne du prince, des pluies amères apparurent dans les campagnes, faisant pourrir les récoltes et les plants à peine semés. Les animaux furent frappés de folie. Même le plus doux des agneaux finit par attaquer ses maîtres. L'eau des rivières devint acide et délétère. Quand les paysans virent demander de l'aide au nouveau roi, car ils ne pouvaient plus survivre, celui-ci rit et les fit enfermer dans les cachots qui venaient d'être construits, les anciens étant pleins.

Les gardes du palais juraient, après avoir vérifié par deux fois que personne ne pouvait les entendre, que deux créatures effrayantes, pouvant se rendre à loisir invisibles escortaient le roi où qu'il aille, et que deux fines cornes lui avaient poussé, de part et d'autre de sa couronne. Puis un beau jour, plus personne ne put colporter les rumeurs. Soldats et femmes de chambre avaient tous fuis les uns après les autres, craignant trop pour leur vie. Alors pendant des années, le prince resta seul en son château, d’où s’échappaient parfois des éclaires de sinistre augure.

Un beau jour, une jeune fille arriva à la ville dans laquelle se trouvait le château du roi. Quand le tenancier de l'auberge où elle était descendue lui demanda où elle allait, elle répondit « Au palais ». « Vous n'y pensez pas ? répondit l'homme. Notre nouveau roi a laissé son coeur s'aigrir, et il est devenu un enchanteur. On dit qu'il enlève les jeunes filles dans leur lit et dévore les enfants. N'allez pas au palais, ce sera votre mort ! ». Souriant, la jeune fille le remercia, paya son repas, et se remit en route. « Tu arrives bien tard, lui dit amèrement le prince quand elle s'inclina devant lui. Viens-tu quémander mon pouvoir maintenant qu'il dépasse le tien ? Penses-tu que je te pardonnerai ton ingratitude passée si tu me supplies ? ».
« Prince, répondit posément Eliwen, je suis venue vous tuer. Le pays entier souffre à cause de votre cœur aride, il faut mettre un terme à cela ».
Dans un hurlement de rage, le roi invoqua ses démons, leur ordonnant de sauter à la gorge de la jeune fille. Celle-ci ne fit pas mine de bouger, debout dans un rayon de soleil, aussi droite et belle que le premier jour où je prince l'avait vue, tant d'années auparavant. Un mince filet de sang se mit à couler de ses lèvres. Il crispa sa main sur sa poitrine, pris de terribles douleur, et s'écroula. Interloqués, les démons arrêtèrent leur course et ne réagirent même pas quand les deux serpents d'Eliwen les étranglèrent.
« Prince, dit-elle en s'approchant de l'enchanteur allongé, tu le sais déjà, la faiblesse d'un enchanteur est son cœur. Tu as laissé le tien pourrir sur pied, à tel point qu'il n'est plus capable de supporter le moindre sentiment heureux. Ta vie s'achève donc ici ».
Le prince essaya de répondre, mais la douleur dans sa poitrine se faisait plus forte à chaque mot prononcé par Eliwen, le clouant au sol. Chaque regard qu'elle lui lançait le transperçait comme mille épées.
Durant toute la nuit que dura son agonie, Eliwen resta assise à ses côté, sur le sol blanc de la salle du trône, ses deux mains enserrant les siennes. Et chaque seconde qu'elle passait à ses côtés accélérait les douloureux spasmes de sa fin. Enfin, peu de temps après le lever du soleil, il cessa de respirer. Eliwen se releva alors, et alla délivrer tous les prisonniers des donjons. Elle fit savoir partout dans le pays que le roi était mort et partit ensuite dans les champs rongés par l'amertume pour aider les plantes à repousser. Peut à peu, le pays redevint prospère, et ses habitants se réunirent pour demander à Eliwen de devenir leur nouvelle reine. Hélas, quand ils virent la trouver, celle-ci était déjà morte, son cœur ayant succombé au chagrin que lui avait causé la disparition du prince.
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MessageSujet: Re: Parchemin - La fille à la bouche cousue   Parchemin - La fille à la bouche cousue I_icon_minitimeVen 24 Avr - 2:45:05

y a pas à dire.... c'est magnifique... et très triste...

cheers BRAVO cheers
Je te le dis Ô auteur.... si tu n'es pas célèbre dans quelques années avec tes récits... c'est que cette terre ne tournera pas rond!!!

Je crois que tu peux me compter parmi tes fans!!!!!
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MessageSujet: Re: Parchemin - La fille à la bouche cousue   Parchemin - La fille à la bouche cousue I_icon_minitimeVen 24 Avr - 21:36:57

Punaise, c'est du lourd là, BRAVO Duni....

A chaque fois que je lis un de tes textes, je réalise a quel point je n'ai aucune chance de voir mon bouquin sortir un jour.....

Tu es vraiment un écrivaint né. Fait ch...ier mer...e, t'aurais pu laisser un peu de tes talens aux autres (comme nous par exemple pas vrai Mana,,,)

Elle a tout prit la Duni, elle excellent dans tous les arts et nous nous pouvons aller nous rhabiller MDR.

Félicitation ma belle, tu es vraiment trés trés douée.
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Doune
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MessageSujet: Re: Parchemin - La fille à la bouche cousue   Parchemin - La fille à la bouche cousue I_icon_minitimeVen 24 Avr - 21:43:34

Mais c'est pas de moi :p

c'est Parchemin , nouvelle sur le forum qui l'a composée.

J'ai trouvé ces textes et lui ai demandé la permission de vous le faire voir.
Elle a acceptée et c'est même joint a nous.

Désolée Nolan colors
tu me sur estimais pour ce coup la.
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MessageSujet: Re: Parchemin - La fille à la bouche cousue   Parchemin - La fille à la bouche cousue I_icon_minitimeSam 25 Avr - 13:37:30

Ouaaaaaah ! C'est vraiment un merveilleux conte !! Il est vrai que c'est du grand art mais tellement triste... rhooo Quel dommage que ces deux êtres n'aient pu s'aimer... Sad
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MessageSujet: Re: Parchemin - La fille à la bouche cousue   Parchemin - La fille à la bouche cousue I_icon_minitimeSam 25 Avr - 15:12:29

Merci pour ces jolis compliments.


Et désolée Nolan Wink

Sinon, oui ce conte est triste, et le suivant le sera aussi (en fait, j'ai eu l'idée pour deux autres, mais je ne sais pas pourquoi, quelque chose me dit qu'il en faut cinq... On verra bien).
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MessageSujet: Re: Parchemin - La fille à la bouche cousue   Parchemin - La fille à la bouche cousue I_icon_minitimeSam 4 Juil - 2:00:06

Ben alors, FELICITATIONS a toi Parchemin, je t'assure que je trouve celà vraiment excellent, vivement les autres, quel plaisir de te lire. Un grand BRAVO a toi.
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MessageSujet: Re: Parchemin - La fille à la bouche cousue   Parchemin - La fille à la bouche cousue I_icon_minitime

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